Le souvenir qu’il me reste de ces retrouvailles est la réflexion de l’un de nous – unanimement partagée – au milieu de notre première grande voie :
« On ne grimpe pas souvent ensemble mais tout est aussi naturel que si nous faisions cela tous les week-ends »
Il en va en général ainsi d’une famille. Nul besoin de se voir ou de se parler chaque jour pour se sentir à l’unisson dès que l’on se retrouve.
Les couleurs automnales du discret vallon de Bérard, le gneiss cramoisi du Mont Oreb et le confort des Praz n’ont fait que rajouter au plaisir de partager ses moments de grimpe et d’amitié.
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